La saison estivale amène avec elle les insectes gênants comme les moustiques. Face à ces bestioles, nous avons l’habitude d’utiliser des répulsifs chimiques qui sont souvent appliqués sur le corps. D’autres sont diffusés au niveau des zones les plus sujettes à la présence de ces bestioles. Dans tous les cas, il faut bien faire attention, car certains composants de ces insecticides sont nocifs pour les humains. Que faut-il savoir à ce sujet ?
Faites attention à ces types de répulsifs chimiques anti-moustiques : ils représentent un véritable danger pour les humains
De prime abord, la direction générale de la concurrence des consommateurs et de la répression des fraudes conseille de porter une attention particulière à la durée de l’effet biocide, au numéro de lot et la date de péremption ainsi qu’à la spécification du principe actif.
Il convient de préciser que les répulsifs anti-moustiques comptent parmi les produits les plus toxiques. Le Ministère de la Santé doit approuver le produit qui doit d’ailleurs porter l’étiquette “Dispositif médico-chirurgical”.
Par ailleurs, vous devez vérifier la présence de ces messages :
- respectueux de l’environnement;
- éloigne les moustiques pendant 6 heures;
- efficace contre les mouches;
- biocide à faible risque;
- naturel;
- pas nocif pour la santé;
- non toxique.
Les noms des principes actifs qui composent le produit
- L’icaridine assure une protection jusqu’à 5 heures. Toutefois, il peut favoriser l’irritation des yeux, ce qui requiert une certaine modération en termes d’utilisation.
- L’IR3535 est un principe actif peu diffusé;
- Le Deet est particulièrement puissant et peut favoriser de fortes irritations cutanées;
- Le citridiol ou citrepel est particulièrement efficace pour tenir à l’écart plusieurs insectes.
Zoom sur les noms des actifs non autorisés
Les actifs non autorisés sont l’huile essentielle de neem, de menthe poivrée, de citronnelle, d’ylang ylang, d’eucalyptus citronné, de citronnelle et de géranium.